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Dumoulin Bicyclettes se propose de faciliter l’adoption des pratiques de mobilité active pour réduire votre empreinte écologique. Le secteur des transports représente plus de 40% des émissions de GES, une part en constante augmentation depuis 1990.

Les vélos pliables offrent une solution pertinente pour changer cet état de fait.

Comment ? en facilitant le «cocktail transport», expression vernaculaire pour parler de la multimodalité et de l’intermodalité. Qu’est-ce à dire exactement et comment cela pourrait-il aider le Québec dans la lutte au réchauffement climatique ?

Notions

La multimodalité, c’est l’utilisation en alternance d’un moyen de transport ou d’un autre pour effectuer ses déplacements. Selon les occasions ou la météo, selon les distances ou les possibilités, vous pouvez choisir différents modes de transports. Par exemple, le métro un jour, le vélo un autre.

Lorsque cette variation du mode de transport est constatée sur un seul trajet, la littérature scientifique parle plutôt d’intermodalité.

«L’intermodalité est un concept qui renvoie à la possibilité pour les usagers ou pour les marchandises de passer d’un mode de transport à un autre au cours d’un même déplacement. Au sens plus opérationnel pour l’usager, l’intermodalité apparaît comme une pratique de mobilité caractérisée par l’utilisation successive de deux ou plusieurs modes de transports au cours d’un même déplacement (vélo + train, vélo + bus, marche + bus, marche + tram + bus, covoiturage + bus, vélo + covoiturage…).»

Source : Cerema.fr «Qu’est-ce que l’intermodalité

Chez Dumoulin Bicyclettes, on souhaite vous voir «retirer» la voiture de l’équation. Ou à tout le moins, que cette utilisation soit la plus réduite possible. Imaginez un monde où les trajets les plus longs s’effectuent en partie en voiture, en partie en vélo ? Quelles avancées pour la qualité de l’air, pour la diminution des pollutions liées à la congestion routière !

Le vélo pliable est un chainon pertinent et fiable de cette chaine de mobilité. Il favorise la réalisation, dans la «vraie vie», du planificateur d’itinéraires de Google Maps ou de la STM où vous pouvez choisir les transports en commun, la voiture, le vélo ou la marche à pied pour vous rendre à destination.

Plaidoyer pour le train

Le train de banlieue est malheureusement trop peu efficace ou fiable pour la plupart d’entre-nous. Comment expliquer cet abandon alors qu’aujourd’hui plus que jamais, le train serait un complément formidable du vélo pour lutter contre le réchauffement climatique ?

Le REM, on attend avec impatience de pouvoir l’utiliser, mais pourquoi ne pas augmenter aussi l’offre et l’efficacité des lignes existantes ? Pourquoi ne peut-on pas se rendre à Mascouche en fin de semaine ? Pourquoi l’accès aux Laurentides ne peut passer que par l’autoroute 15 ? Ce pays s’est fait grâce au chemin de fer, il est estomaquant de constater l’attrition de cette offre aujourd’hui.

Train à grande fréquence, train à grande vitesse, trains de banlieue, oui, allons-y à fond nous aussi !

Lire plus : quel avenir pour les trains de passagers au pays ? Radio Canada, 2 janvier 2023

Pourquoi ce plaidoyer pour le train ? Parce que le train pollue moins, émet moins de gaz à effet de serre, est moins accidentogène, peut se révéler efficace et qu’il pourrait aussi soulager les routes des tonnes de tôles sur quatre roues qui y circulent quotidiennement (les chars)(on pourrait espérer avoir des routes en meilleur état!)

C’est aussi parce que notre ville est énorme ! Elle est une île à elle seule et se rendre au Cap Saint-Jacques ou au parc de la Visitation, ça ne se fait pas facilement autrement qu’en voiture.

Le train pourrait aussi générer dans l’esprit collectif une réelle culture de l’alternative : pour sortir du tout-à-l’auto, il faut pouvoir penser que c’est possible ! Avec des trains et des réseaux à la hauteur, nul doute que les Québécois embarqueraient avec enthousiasme.

Cela parait une utopie complètement irréalisable : y a-t-il seulement une mobilisation militante pour porter les projets ? La future inauguration du REM, l’appel récent du fédéral pour sonder la faisabilité de projets de trains à grande fréquence sont autant d’occasions de créer une demande.

Parler d’intermodalité fait immanquablement surgir la question du train.

Le vélo pliable comme outil d’intermodalité

Parce qu’ils se plient rapidement et qu’ils sont vraiment portables, les vélos pliables Tern ou Brompton se conjuguent très bien avec les autres modes de transport.

Contactez-nous pour parler de vos enjeux de mobilités et venez essayer un de nos vélos pliables en magasin : ils sauront vous convaincre de leur pertinence et de leur fonctionnalité !

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